Les artistes le disent et le répètent : ils créent pour eux avant tout. Pour se libérer, s’exprimer, se réinventer. Pour vivre. Et pour toucher l’autre. Le secouer, le faire réfléchir, l’amuser. Pour qu’il se sente vivant lui aussi à son tour. Ces deux réalités sont les deux faces d’une même pièce. Elles cohabitent dans une harmonie relative. Parfois, malheureusement, la face cachée de l’art, le commerce, prend trop de place au point d’ébranler les raisons pour lesquelles le geste artistique doit être motivé.
Oui, l’art est une industrie, mais quand ce fragile équilibre se rompt au point où les critères de l’existence même d’une œuvre se voient réduits à sa plus simple expression, soit l’argent, il y a lieu de s’inquiéter, de s’indigner. Lire la suite (Journal LA PRESSE) Les commentaires sont fermés.
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